
La réalité factice de ce qu’il y a de plus brutal dans la sublimation de la beauté
– par Cristina Albertini Bahnarel
Aux images de fragments de corps couverts de cire s’ajoutent désormais de véritables scènes d’intérieur, dont on ne saurait pas dire si ce sont d’aperçus de boudoir, de salon de beauté, d’atelier ou autre… Il pourrait s’agir de fragments d’une fiction d’anticipation, du côté de la dystopie, ou bien l’expression psychédélique à la Twin Peaks d’une histoire personnelle du culte de l’image. Avec ces images Marta éveille cette phrase que Louise Bourgeois (…)